Je vais vous expliquer mon expérience avec la PNL afin de vous démontrer l’efficacité de cette méthode maintenant reconnu un peu partout dans le monde. La beauté, c’est que je me sens enfin moi-même. Je n’ai plus à être une autre personne pour faire plaisir aux gens, car je n’ai plus peur de ce qu’ils vont dire ou penser.
Mon but premier était de régler mes attaques de paniques. Pour moi, une attaque de panique était un peur profonde de vomir qui faisait en sorte que parfois, dans des endroits où je n’avais pas d’issue de sortie, je paniquais et j’avais un haut-le-coeur. Par exemple, si j’étais sur l’autoroute et que j’arrivais à Montréal dans le trafic, que je ne me sentais pas bien, mon coeur commençait à battre la chamade, car je n’avais pas accès aux sorties.
Pour parvenir à à ces fins, mon coach m’a tout d’abord expliqué le schémas de pensées universel chez l’être humain. Ensuite, avec des techniques tel que l’EMDR et l’hyponose, il est parvenu au moment dans ma vie où j’ai enregistré l’événement qui rejouait dans ma tête à chaque fois, c’est-à-dire à l’âge de 5 ans. Arrivé là, grâce à des techniques de visualisation, tout est entré dans l’ordre.
À travers mon cheminement, nous avons aussi eu à travailler ma peur du rejet, de l’abandon, mon anxiété et finalement trouvé une profonde confiance en moi. La confiance en soi est l’absence de la peur et cette peur doit être travaillé et comprise afin de l’éliminer et de passer à des schémas de pensées différents.
Avant, je n’avais pas le choix d’être drôle avec les gens, car c’était mon moyen d’intégrer les groupes et de me dégèner. J’avais aussi peur d’être abandonné et/ou rejeté, alors je faisais des pieds et des mains pour me mouler aux attentes des gens. En ayant peur nous souffrons, mais nous souffrons aussi de ne pas être réellement nous-même. Ce n’est pas agréable de ne pas pouvoir donner son point de vu et faire ce que l’on désire réellement, car la peur nous guette.
Avec le fonctionnement universel des pensées, jumelé aux peurs que j’ai laissé tombé en route, je découvre une profonde confiance et une meilleure capacité de communication avec les autres. Si une personne a peur, est stressé ou autre, je vais l’entendre, mais je ne paniquerai pas avec elle, car ça ne m’appartient. Je peux donc rester calme et serein en toute situation (ou presque) et réagir comme il se doit. Lorsque je vois que je réagis fortement, je prends des notes, je prends un rendez-vous avec mon coach et on en discute.
Dans tout ça, j’ai appris que la balle est toujours dans mon camp pour ce qui est de ma réaction. Je ne peux pas mettre la faute sur le dos des autres, car c’est moi qui interprète ce qui se passe sous mes yeux. Aujourd’hui, comprenant le pouvoir des mots, je suis maintenant un chef d’orchestre. J’ai le pouvoir de faire en sorte qu’une discussion aille bien ou je peux y semer la pagaille si je le décide et que je laisse mes émotions négatives prendre le dessus. Bien sûr j’essaie de faire le bien avec mes mots, car c’est souffrant de faire le mal.
Plus j’avance et plus je veux agir avec les autres comme je voudrais que l’on agisse avec moi. Ainsi, il est simple pour moi d’être bon sans avoir à me questionner si je le suis, car j’ai confiance que je le suis. Si les gens interprète mal mes propos, ça leur appartient, mais ça ne fait pas de moi une mauvaise personne, même si ces derniers ont des propos incendier. Je garde toujours en tête que je donne mon 100% et que les gens font la même chose, alors je laisse mon jugement de côté et j’accepte plus facilement les accrochages dans la vie de tous les jours.
Je n’ai qu’un seul but dans la vie, apprendre à me connaître et travailler sur moi. Mon but de vie est atteint, car j’apprends à me découvrir à tous les jours, et ce, même si ça ne va pas tout à fait bien dans ma vie. Si je viens qu’à avoir une blonde, des enfants, une maison, un chalet, des animaux, tout ça sera un bonus, mais ce bonus n’est pas ma priorité, car je risque d’être déçu.
Je fais maintenant mon bonhomme de chemin en emprunter soi le chemin A ou le chemin B n’ayant pas peur de la résultante, car dans chaque chemin, j’apprendrai sur moi, je vivrai des expériences et je sortirai grandit. Nous venons sur terre avec rien, nous vivons et nous repartons avec rien. Aussi bien vivre des expériences.
La PNL va faire longtemps parti de ma vie, je vous le souhaite.